Pourquoi partir en randonnée seule ?

Partir en randonnée seule

Aujourd’hui, je voulais vous parler d’une activité à laquelle on ne pense pas toujours pour se ressourcer, prendre du recul, se reconnecter à ses besoins et ses envies ou encore pour rêver et ouvrir le champ des possibles : partir seul-e quelques jours pour une randonnée.

He oui, vous allez peut-être trouver ça hors sujet ici, mais je vais vous expliquer pourquoi partir faire quelques jours de randonnée seule a été la meilleure idée que j’ai eu depuis des mois.

Même si cette randonnée prévue fin septembre se déroulait un mois après mon retour de vacances d’été, et que mon moi culpabilisant pouvait se dire « Hey, tu viens à peine de rentrer, mets-toi au travail » ; je peux vous dire que mon moi en besoin d’énergie constante pour avancer dans le développement de mon entreprise m’a dit : « Meilleure idée du siècle, bravo ! ;) »

Alors, je me dis que mon partage peut vous donner des idées et je vous en dis plus sur les bienfaits de faire une activité comme celle-ci ; surtout si vous êtes en pleine reconversion professionnelle, ou dans le doute de votre futur professionnel. Peut-être que vous souhaitez tout simplement développer votre confiance en vous dans votre futur projet pro et/ou votre vie perso.

Pourquoi était-ce important pour moi de partir seule en randonnée ?

Et pourquoi pas ? 🙂

Pour vous poser le contexte, je suis une personne assez solitaire de base, mais je pense sincèrement que ce n’est pas pour ça que c’est spécialement plus facile de gérer la solitude dans une activité comme la marche (j’y reviendrai plus tard.).

Quand je marche avec quelqu’un (mon chéri ou une copine), on passe des heures à parler. On refait le monde et j’adore ça. Mais marcher apporte aussi d’autres bienfaits, quand on le pratique seul-e. D’ailleurs, on peut aussi refaire le monde seul-e ! ^^

Quoiqu’il en soit, je suis quelqu’un qui recharge mes batteries dans ces moments de solitude. Et c’est un besoin. 

Alors, j’ai voulu aller plus loin que ça. Même si dans mon quotidien, il m’arrive déjà de faire des activités seule et de prendre du temps rien que moi (par exemple, me faire une virée en ville solo et faire quelques boutiques, aller manger un morceau toute seule, m’installer dans un café pour travailler, aller au sport…) ; il est plus facile pour moi de le partager aussi. Partager quelque chose, c’est être sûr de ne pas subir sa solitude.

Bref, ces activités sont peut-être un peu banales et j’avais besoin de quelque chose de plus long pour voir si j’étais bien en phase avec moi-même.

Alors pourquoi partir quelques jours seule ?

Tout d’abord, je me suis rendu compte que cela faisait 10 ans que je n’avais pas vraiment vadrouillé seule. Je me suis rappelé à quel point ça m’avait fait du bien. Pourquoi ne pas recommencer ? Mon dernier voyage solo, c’était en 2013 pour aller un mois dans un pays pour apprendre l’anglais et faire une grosse remise à niveau. Au bout d’une journée, je me suis fait une copine et plusieurs amis d’autres nationalités. C’était super, car j’étais seule sur place. Mais très vite, j’ai finalement passé tout le mois bien entourée et j’ai pu facilement rencontrer des gens. Cette expérience – alors que j’étais en plein doute dans mes études – m’a permis de reprendre confiance en moi. À ce moment-là, j’en avais vraiment besoin. Je suis rentrée avec une décision prise sur la suite. Ce petit break m’avait bien aidé et m’avait permis de faire des choix alors que ça faisait des mois que je ne savais pas quoi faire.

Ensuite, ça fait quelques années maintenant que je partage ma vie (avec une personne merveilleuse <3) et que je ne vis plus seule au quotidien. Ça m’a fait comprendre que les moments solo étaient un besoin régulier pour moi. Et même si j’adore partager des activités et voyages avec mon amoureux, je me suis rendue compte que je laissais de côté certaines activités que j’adore. Et j’ai trouvé ça dommage. C’est sûr que c’est parfois plus facile à deux et on a tendance à prioriser ces moments-là, les moments entre amis et/ou en famille.

Alors que dans mes souvenirs, quand je vivais seule et que mes copines n’étaient pas dispo ou sur place le week-end (pendant mes deux dernières années d’études), je n’avais aucun problème à passer ma journée solo. Je me faisais le programme qui me faisait kiffer, à savoir : petit-déjeuner en ville, shopping le matin, repas sur le pouce chez moi et aprem à la piscine. Et j’adorais ce genre de journée pour de vrai. Car même si j’étais seule, je faisais que des choses qui me faisaient plaisir et surtout à mon rythme.

Avec mon chéri pourtant, on s’est toujours dit – et ce depuis le début – qu’avant d’être un couple, on était deux individus à part entière et que c’était normal et important d’avoir chacun ses moments avec ses amis, au sport ou autre…

Mais voilà, pour moi la réalité ces dernières années, c’est que quand même, quand on est en couple, je trouve que tout est plus simple. Car on peut partager un tas de choses. C’est pour ça que je n’ai plus priorisé mes petites vadrouilles solo. Et c’est ok.

Voilà pour le pourquoi de ce petit break en solitaire.

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La décision de partir seule en randonnée

Cette année, j’ai eu envie d’aller au bout d’un truc que je voulais faire depuis longtemps et que je laissais de côté. Je le laissais de côté tout simplement parce que moi cette activité me faisait vraiment plaisir, mais pas autant que mon conjoint. Je n’avais pas envie non plus de partager ce moment avec quelqu’un d’autre car j’ai souvent tendance à m’adapter au rythme de la personne qui est avec moi. Et j’avais vraiment envie de suivre mon rythme. Alors cette fois, au lieu de laisser ça de côté et de me contenter de faire des randonnées par petite touche, j’avais envie de ne faire que ça pendant plusieurs jours.

Et vraiment, je ressentais de plus en plus l’envie de partir solo.

Le besoin de me reconnecter à mes bonheurs à moi.

Car partager la vie de quelqu’un, c’est souvent partager un même projet de vie et c’est génial. Mais on est tous différents et je suis convaincue que ces moments de vie solo font de nous quelqu’un de plus et mieux présent quand on se retrouve avec notre partenaire de vie et/ou avec nos ami-es, notre famille.

Cette randonnée solo était pour moi l’occasion de renouer avec mon activité préférée et de faire quelque chose uniquement pour moi sans y attendre de partage même si j’adore ça. 

J’adore marcher la journée entière au bord de la mer. Alors, j’ai décidé de prévoir ça en septembre. Cette fois, je partirai 4-5 jours en bord de mer juste moi et mon sac à dos.

Je suis une grande marcheuse, mais pas vraiment une super sportive, et porter un sac toute la journée, c’est ce qui me paraissait le plus dur. C’est pour ça que j’ai démarré ce petit challenge sans pression en partant 5 jours dont 3 jours de marche en mode tranquille pour être confortable.

La préparation de ma rando solo

Pour moi, la préparation de ce petit break a constitué pour au moins 50% des raisons de sa réussite (de mon point de vue et par rapport à ce dont j’ai besoin évidemment).

J’ai choisi un endroit réconfortant et inspirant pour moi. Le bord de mer. C’est le seul endroit où je me sens toujours en sécurité.

Personnellement, je n’irai jamais marcher solo en forêt. Ce n’est pas du tout un endroit qui m’apaise. Il a même tendance à m’oppresser plus qu’autre chose. Mais ça, ça appartient à chacun. Moi, je voulais rester dans ma zone de confort.

Je me sentais tout à fait ok avec l’idée de faire de la randonnée pédestre solo pendant 3 jours sur le littoral.

En plus, moi qui ne suis pas la meilleure en orientation, c’est beaucoup plus facile pour moi de me repérer dans cet environnement. ^^

C’est mon endroit sécurisé et inspirant. Je sais que j’y reprends de l’énergie, de la vitalité à coup sûr. C’est ma bulle de bien-être.

Spoiler alert : en septembre, au bord de mer, il n’y a que des retraités ! ^^

La seule fois où j’étais un peu saoulée car un mec s’est montré un peu lourd, c’est quand je me suis posée manger une crêpe à st Nazaire. Mais voilà, ce n’était pas le truc qui m’a fait sentir en insécurité. C’était juste un gars vraiment pas fin et il y avait beaucoup de monde autour de nous. Je sais que pour beaucoup d’entre nous, c’est une question qui se pose quand on part voyager seule. Comment peut-on prendre ses précautions pour ne pas sentir trop vulnérable en tant que nana toute seule ? C’est aussi pour ça que j’ai fait cet article.

Ça m’a d’ailleurs confirmé que les plus grandes villes où il y a trop de monde, ce n’est définitivement plus pour moi. Ça valide de nouveau mon (notre) projet de changement de région dans quelques mois. Et ça, c’est top.

Si tu veux en savoir plus sur mon changement de région, j’ai fait un article spécial sur le sujet : comment concilier reconversion pro et changement de région ? 

Le sentier que j’ai pris (le GR34) du Croisic à St Nazaire est assez fréquenté donc je rencontrais très régulièrement des promeneurs.

Je savais que sur ce sentier, je ne me sentirais pas si seule et perdue au milieu de nulle part et donc vulnérable.

Gérer la solitude quand on part seule

Si ça peut vous rassurer, on peut partir seul-e mais choisir d’avoir du lien social et de l’échange, tout au long du voyage. C’est à vous de décider.

Personnellement, je n’ai pas passé une seule journée sans parler au moins à une ou deux personnes. En balade, j’ai croisé des gens tout au long du trajet, et si j’avais vraiment eu envie et cherché à plus échanger, ça aurait été très facile. Sur le chemin, on croise des gens, on se dit bonjour, des fois, on échange quelques mots en plus ; et ça, clairement, je pense que ça fait beaucoup dans une journée de rando solo.

Ça m’a permis aussi de voir que le rapport à la solitude était vraiment différent en fonction des personnes que je croisais. Plusieurs m’ont vu manger sur mon banc face à la mer et avaient l’air contents pour moi. Parfois, il y avait un petit mot sympa. Quand d’autres ont été surpris et peiné pour moi (ce n’est que mon ressenti), alors que je vivais mon meilleur moment face au coucher du soleil.

Un couple s’est arrêté pour me tenir la discute, mais moi, j’avais juste envie c’est qu’ils partent. ^^ 

Ce n’était pas méchant, loin de là, mais je les ai sentis un peu surpris et ils se sont demandé ce que je faisais là, toute seule un samedi soir, face à la mer avec ma gamelle de pâtes, quand beaucoup autour de moi rentrait pour déguster un repas bien entouré.

Ce moment, je l’avais précieusement choisi pour moi, alors je ne l’ai pas mal vécu. Loin de là. En plus, autant vous dire qu’après 25km de marche avec le sac, je n’avais qu’une envie ; c’était de manger, voir le coucher de soleil, et rentrer dormir.

J’ai l’impression que finalement, on peut être seule physiquement, mais pas le ressentir pesant mentalement et on peut aussi être bien entouré-e, mais se sentir très seul-e.

Je crois que j’ai toujours préféré l’option numéro une.

Ce qui n’empêche pas que l’on peut subir la solitude quand on l’est physiquement aussi. La solitude en vadrouille quelques jours, ça peut faire peur et c’est normal. Mais l’envisager et le voir sous un autre angle ça peut aider.

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Se concentrer sur soi

Pendant ces quelques jours de randonnée seule, je me suis concentrée uniquement sur les choses qui me faisaient du bien et me procuraient du plaisir.

À savoir :

  • marcher au bord de la mer,
  • manger des bons petits plats,
  • assister au coucher du soleil,
  • et me balader tranquillement dans les villages où je m’arrêtais.

Voilà le programme.

D’ailleurs, ce n’est pas si facile d’être tout à coup à l’écoute de SES besoins uniquement. Au quotidien, on s’adapte parfois (souvent) à l’autre, en fonction de la vie de famille, des sorties avec les amis, au contexte professionnel…

Par exemple, la première journée, j’ai mangé par habitude et par réconfort j’imagine ; mais pas vraiment en conscience.

Pour la suite du séjour, j’ai davantage écouté ce que me disait mon corps, ma tête et mon cœur.

Les bienfaits de partir seule en randonnée

Si je fais le point, ce séjour m’a permis de :

  • Me recentrer sur moi, mes besoins et mes priorités au quotidien.
  • Mieux me connaître, et développer ma confiance en moi et en mes capacités.
  • Faire diminuer mon stress et mon anxiété. Surtout dans une période clé comme celle de la rentrée.
  • De booster ma créativité. Quand on marche seule dans un environnement qui nous inspire, on s’autorise à rêver, à voir grand, à imaginer, et peut-être même à rendre certaines idées possibles. Des projets pros et perso me sont revenus en tête pendant ces jours de randonnée en solitaire. Alors que je les avais laissés de côté à cause du quotidien.
  • De revenir plus apaisée, concentrée et avec du plaisir au travail.

Finalement, j’ai trouvé ça facile et plaisant, car je l’ai aussi préparé en ce sens.

Je l’ai envisagé comme quelque chose qui m’apporterait du positifLe fait de l’envisager, de le préparer puis de le vivre ; ça m’a vraiment permis de ne pas subir cette solitude qui peut faire peur.

C’est quelque chose que j’ai envisagé rien que pour moi.

J’ai vu ça comme un cadeau de moi à moi.

Le seul inconvénient que j’ai trouvé à ce petit break, c’est qu’il peut vite devenir coûteux.
En effet, je ne fais pas de camping et je n’aurai pas imaginé devoir porter en plus mon matériel pour m’abriter et dormir le soir. Ça aurait pesé très lourd pour moi. C’est là où s’arrête le plaisir pour moi. Mais cela peut être aussi motivant et challengeant.

« Les randonneurs qui font du camping, franchement, je ne sais pas comment vous faites. ^^ Sûrement, que vous avez aussi un peu plus d’entraînement que moi. »

Peut-être qu’un jour, c’est quelque chose qui me tentera.

Bref, mon petit confort est important ^^, surtout quand je suis seule. Alors, j’avais choisi des Airbnb ou hôtels au bord du sentier proche de la mer. Et bien sûr, même si la période des vacances d’été était terminée, septembre reste un mois assez cher pour le bord de mer.

Seule, on a des dépenses de logement incompressibles et qui ne peuvent pas se diviser si on part en hébergement plutôt confort ; donc ça revient vite cher.

Mais je crois que ça ne m’empêchera pas de repartir quelques jours seule, surtout si je le pense bien en amont.

Ça m’a même donné envie de faire des hébergements encore plus sympas comme des hôtels vu mer mais aussi plus sommaires (dans des refuges ou autre point de camping) pour équilibrer tout ça. ^^ 

Quelques conseils pour préparer votre rando solo

Quelques petits conseils pour la fin si vous aussi, vous voulez vous offrir ce moment rien que pour vous en partant seul :

  • Préparez votre itinéraire à l’avance et envoyez-le à un proche.
  • Organisez vous de la façon dont vous avez vraiment envie de le vivre.
  • Respectez votre rythme.
  • Trouvez le juste milieu entre des objectifs journaliers confortables et sécurisants pour vous, mais aussi un petit peu challengeant.
  • Commencez par marcher une journée entière avec votre sac à dos ; puis à 3 à 5 jours max.
  • Projetez-vous, imaginez cette balade et les émotions que vous serez être heureux-se de vivre.
  • Cultivez tout ça avant le départ.
  • Soyez déjà fier-e du temps que vous allez prendre rien que pour vous.
  • Suivez votre intuition. Même si je ne suis pas hyper douée en orientation, il y a eu des moments où les sentiers n’étaient pas accessibles donc je passais par la plage ou par les zones d’habitations. Je me suis surprise quelques fois à finalement écouter mon intuition et rebrousser chemin pour passer par la plage car et c’était bien ça.
  • Concentrez-vous sur le moment présent.

Bonus : les indispensables dans mon sac à dos

Ce que j’ai mis dans mon sac dos pour partir en randonnée :

  • 3 t-shirts spécial rando (en laine merinos c’est le top)
  • 2 leggins de sport
  • Casquette
  • Poncho de pluie
  • Trousse de toilette
  • Barres énergétiques
  • 1 gourde d’1l (minimum)
  • Des baskets pour la marche
  • Des baskets pour le soir
  • Un sweat
  • Un pull léger pour le soir
  • Un foulard
  • Un jean
  • Des chaussettes spéciales randonnée
  • Des sous-vêtements adaptés pour le sport si vous préférez.
  • Téléphone, chargeur et écouteurs
  • Une banane en bandoulière
  • 1 livre
  • 1 carnet et un stylo pour écrire en fin de journée
  • Une couverture de survie
  • Des pansements spécial ampoules
  • Une protection solaire visage
  • Des lunettes de soleil adaptées

Ce qui m’a manqué :

  • Une doudoune légère que j’aurais pu accrocher au sac. Car même si la journée j’avais chaud, le soir quand je ressortais pour aller à la plage et manger c’était plus frais.
  • Un short ! Il faisait si beau que j’aurais pu en profiter pour faire bronzer mes gambettes.
  • Un maillot de bain. Si vous êtes adepte des baignades de fin de journée pour détendre le dos et les muscles.

Voilà pour cet article complet sur ma rando solo.

J’espère que ça vous aura donné envie, car je souhaite à tout le monde prendre ce temps pour soi et d’y prendre plaisir. La priorité, c’est d’identifier ce que vous aimeriez vraiment vivre et faire que des choses que vous aimez vraiment. Organisez cette vadrouille pour vous et selon vos règles. Randonner seul-e, c’est se donner les moyens de se concentrer sur soi et ses besoins. C’est prendre de la hauteur sur notre vie (pro et/ou perso), sur les projets qu’on a envie de mener et c’est aussi s’autoriser à rêver. Enfin, c’est se créer des souvenirs seul-e et développer sa confiance, son estime de soi et sortir des activités que l’on connaît. Le pouvoir de l’instant présent est bien là en randonnée seul-e.

À bientôt pour un nouvel article !

Marine – Objectif futur 🚀

2 commentaires

  • Waaah, tellement complet, bénéfique et sincère. Cela donne envie. C’est une aventure que je trouve très courageuse. Se faire confiance, se retrouver seul.e avec soi, se retrouver voir même se confronter, se laisser aller et divaguer. Prendre du temps de qualité pour soi. J’aimerai ! C’est vraiment inspirant. Bravo pour ce challenge, pour cette virée. J’imagine que le plus difficile c’est d’arrêter des dates et s’y tenir. Les bénéfices ont l’air beaux.
    Félicitations !

    Répondre
    • Merci ! Je te souhaite de prendre le temps de te prévoir cette petite vadrouille si c’est quelque chose qui te fait envie car c’est vraiment ressourçant. 🙂

      Répondre

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